mardi 22 décembre 2009

Life Day in Oz

La ville d'Oz a organisée une cérémonie de Life Day le 21.12.2009. C'était un évènement sympathique et chaleureux marqué par un esprit de solidarité et de partage. Nous tenons à remercier l'esprit dans lequel les visiteurs extérieurs ont été reçu.

La Light-Tech s'installe en ville

Un bâtiment de la Light Tech a été installé en ville le 09.12.2009. Peu de choses sont connues de cette discrète corporation qui apparemment souhaite élargir son champ d'activité à la Bordure Extérieure, ou à tout le moins, au Sector de Raioballo. Dès l'ouverture de ses bureaux, l'activité commerciale de la corporation semblait en ébullition avec de nombreuses allées et venues de navettes.

Ouverture du Casino

Le Casino de Cauth Bodva a réouvert ses portes le 04.12.2009 sous une nouvelle enseigne, Dant's Cupid, et une nouvelle direction. La soirée inaugurale du casino fut un grand succès - et le spatioport affichait complet avec des visiteurs des nombreux systèmes avoisinants. Le Dant's Cupid offre une gamme complète de services à ses clients et tous les lundi, une initiation au sabbacc est organisée par la direction. M. Fel, l'actuel gérant, souhaite en effet, répéter le succès de l'ancien casino, détruit par la Galactic Vacant Building à la suite de la disparition inexpliqué de M. Tyxx. M. Waux Tyxx et son frère Karell, directeur de la Tyxx Mining Corp. Les rumeurs quant à la disparition des deux frères vont bon train - et laissent supposer des liens avec le Milieu. La réputation de M. Fel est, à ce jour, immaculée et ce dernier souhaite que le casino s'inscrive harmonieusement au sein de l'ensemble des activités commerciales du magnat d'Anaxase.

vendredi 18 décembre 2009

Musée d’histoire naturelle – 17.12.2009

M. Soontir Fel a visité le musée d’histoire naturelle hier et s’est longuement entretenu avec le curateur. La visite a essentiellement portée sur les nouvelles pièces, telles que la cheminée traditionnelle de Kashyyyk, la lance de chasse trandoshane ou encore divers spécimens de la flore endorienne. A cette occasion, l’accent a été mis sur l’importance de la conservation et la politique du musée en la matière.

La visite guidée de Tylia a portée principalement sur les artéfacts culturels des populations premières de Kashyyyk et de Tatooine. En particulier sur les croyances et la spiritualité des Hommes des Sables. Cependant, la visite a été interrompue en raison d’un incident (voir infra).

Le Dr. Heinkel Wolf s’est promenée dans le musée ; les spécimens médicaux ont semblé le plus retenir l’attention de la biomécanienne. Néanmoins sa visite a elle aussi du être interrompue (voir infra).

Deux droids de la Fédération du Commerce ont fait irruption dans le musée hier soir. Un droid B1 particulièrement désorienté a eu une altercation avec le curateur du musée – voulant tantôt lui transmettre un message, tantôt l’arrêter, avant de quitter les lieux. Le modèle B1 a, dans son délire, évoqué les termes « Iblis », « Naboo », Fédération du Commerce », et « Coruscant ». A sa suite, un droid B2 « super battle droid » est entré dans le musée, visiblement souhaitant donner la chasse au B1, après avoir menacé le curateur, le droid a aussi quitté le bâtiment. Le musée a été fermé à la suite de l’incident et les dégâts mineurs causés par la maladresse du droid B1 ont d’ores et déjà été réparé. Pour rappel, Dantooine a été le siège d’une bataille importante durant la première année de la guerre des clones en 21.6.4 opposant les forces de la Confédération des Systèmes Indépendants et la 187ème légion.

Mairie – 16.12.2009

La Migration Périodique cette année pourrait être désastreuse pour la ville de Cauth Bodva, c’est en tout cas le point de vue du curateur du musée d’histoire naturelle, qui a alerté les autorités de la ville sur ce thème. D’après M. Pagott qui s’est entrenu avec Mme Arken et M. Muotar, les conditions climatiques cette année ont rendu les abords de Cauth Bodva particulièrement favorables à la pâture des milliers d’herbivores ayant entamés leur transhumance. Le danger pour la ville serait constitué par les nombreux prédateurs et charognards qui accompagnent les paisibles bols et pickets – en particulier, les quenkers et les grauls.

La municipalité a demandé un rapport sur les risques encourus et l’étendue possible des dégâts – un rapport qui devrait être remis au plus tard demain ou dimanche. Le temps presse effectivement, d’après les calculs des équipes scientifiques du musée, le cortège herbivore pourrait arriver sur la ville aux alentours du 30.12. Après examen du rapport, la municipalité sera en mesure d’établir les dispositions nécessaires au traitement de cette crise.

[HRP : A l’approche de la St Sylvestre, l’ironie n’aura échappé à personne que des créatures mettent la ville en péril. Sylvestre signifiant « homme des bois »…]

Mairie – 09.12.2009

Un droid 4-LOM aurait tenté de s’infiltrer dans le bureau du maire. Le droid aurait réussi à déjouer la vigilance de Sarad Tel’galla et des contre-mesures électroniques pour entrer dans la mairie. Mais n’aurait pas réussi à entrer dans le bureau du maire. Le droid aurait été détruit durant la confrontation avec la milice. Le droid était équipé de puissants équipements d’espionnage et d’un mécanisme d’autodestruction. Tous les numéros de série du droid étaient effacés. Il était porteur d’un datapad dans lequel était dissimulé un mouchard Impérial.

jeudi 3 décembre 2009

Mairie 03.12.2009

L’Ithorien s’était perdu dans la ville et accosta Tarn un peu gêné « Excusez moi, pourriez-vous m’indiquer où se trouve la mairie ? » Il l’observa un instant, sens en alerte ; son armure rouge était criarde et accentuait encore la morphologie étrange de l’extra-terrestre, mais c’était l’arme apparente qui avait attiré l’attention de l’homme. Il ressentait cependant une forme de confiance envers l’Ithorien – un préjugé favorable qu’il avait pour l’espèce et ses croyances. Ses sens s’apaisèrent. « Je dois justement m’y rendre, je vous y emmène ? ». Il senti le léger soulagement de l’être qui se dirigeait vers le AB-1 Landspeeder après que Tarn eut pointé son véhicule du doigt.

Le trajet n’était pas long et les deux hommes échangèrent les banalités d’usage – Tarn prit cependant le temps de préciser que la milice n’apprécierait sûrement pas le port d’une arme visible. Il déposa l’Ithorien devant la mairie et alla se garer ; d’un pas mesuré, l’Ithorien gravissait la rampe d’accès qui le mènerait aux quelques démarches administratives qui l’avaient conduit à se perdre dans une ville étrangère.

Tarn arriva devant la mairie et emprunta la longue rampe d’accès faite de pavés de pierres polies. La mairie de Cauth Bodva était construite dans le plus pur style de Naboo ; un immense bâtiment caverneux monté d’un dôme, conçu pour accueillir les hautes statues à l’effigie des philosophes que les Naboo affectionnent et rappelant un peu les antiques fora. « Peut-être pratique pour une mechno-chaise, mais franchement, le pavé est glissant avec cette pluie » maugréa le curateur du musée.
Il se figea à l’entrée contemplant le détecteur d’armes, se souvenant de la vibro-lame qu’il portait à sa cheville. Il le savait, il devrait retourner à son véhicule pour la déposer. Il devrait remonter la rampe et ses pavés glissants. Pour la première fois de sa vie, il se senti vieux.

Quelques minutes plus tard, il était assis dans le grand hall, son regard embrassant les statues et diverses décorations qui façonnaient la pièce. Il regardait Sarad se demandant comment la mandalorienne s’était retrouvée à devenir la garde du corps personnelle de la jeune maire, Loohy Arken. L’argent, le défi, une relation personnelle ? Une infinité d’êtres sentients dans la galaxie et tout autant de secrets, de motivations variées, d’histoires personnelles. Jamais un chroniqueur ne pourrait écrire une histoire exhaustive de ces mondes.

C’était l’histoire justement qui l’avait amenée sur ce banc à cet instant précis. L’histoire de la ville l’intriguait. L’excavation récente d’une ruine possiblement apparentée aux Guds de Naboo à proximité de la ville laissait supposer que la région en abritait d’autres et comme traditionnellement les villes réoccupaient des espaces habités, Cauth Bodva était peut-être sise sur l’un d’eux.

Loohy confirma l’hypothèse, la ville avait été fondée en lieu et place de ruines et d’un cimetière. Malheureusement, la conservation n’avait pas été une préoccupation des bâtisseurs et Loohy ne voyait pas un grand intérêt aux choses du passé – du moins aux vieilles pierres. Elle indiqua que de nombreux objets avaient été ré-enfouis dans les travaux de soubassement, la mairie et de nombreux autres bâtiments avaient été construit directement sur les ruines. Tarn ne fit pas mine de cacher sa déception et réalisa que de façon inconsciente il aurait voulu ouvrir un chantier d’excavation en ville. Une façon d’être présent. Loohy perçu la déception, son ton s’était fait plus doux et un léger sourire orna son visage.

Tarn pu admirer la résolution de la jeune femme alors qu’elle interrompu la conversation pour aller chercher dans les archives de la mairie divers bloc de données relatifs à la construction de la ville. L’interruption avait été soudaine, à peine prit-elle le temps de dégainer une phrase polie par la répétition « un instant s’il vous plaît ». Tarn avait cru à une affaire urgente, signalée par un message silencieux.

Relevés topographiques, divers datadiscs, des cartes électroniques et une carte en flimsiplast étaient désormais sur son bureau. Tarn eu le sentiment que pendant un court instant, elle retrouva une joie innocente à dégager son bureau pour y déplier la carte. En débarrassant sur bureau de la sorte, elle perdait la gravité de sa fonction ; compte-rendu de réunions, administration publique, tout cela disparaissait au profit de quelque chose qu’elle voyait comme futile, mais dont la futilité même constituait une brève évasion.

La carte était visiblement ancienne, trouvée dans un des bâtiments détruits. Non seulement elle donnait une bonne idée de la ville précédente – Loohy avait minimisé les « quelques ruines » - mais elle montrait par ailleurs une ancienne mine. Tarn pensa immédiatement au nom du plus grand spatioport de Dantooine, l’Avant-Poste Minier. Il songea simultanément à l’information qu’en donnait volontiers le contrôleur whipid de la station spatiale «l’avant-poste ne produisait plus beaucoup». L’activité minière sur la planète évoluait au gré de l’épuisement des veines.

Loohy proposa aimablement des copies de l’ensemble des données, Tarn allait avoir un peu de travail à tout exploiter mais il était venu pour ça.

Ord Mantell 01.12.2009

Je ne pensais pas que c’était possible…se dit Tarn avec un profond soulagement. Son Z-95 venait de passer au travers du sas en fermeture de la station d’Ord Mantell à la suite d’un départ clairement précipité.

Soit il avait joué d’une malchance exceptionnelle, soit la mission avait été compromise. Il penchait pour la seconde solution. Alors qu’il transportait des données pour un contact à Ord Mantell, le chasseur de Tarn était tombé sur une patrouille Impériale dans la zone de saut à la sortie du Système Dantooine. Il avait échappé de peu à l’interception.

Après l’échange de données, trois Impériaux avaient surgi – forces spéciales, BSI, impossible à dire. A peine avait il eu le temps de les voir arriver que ces derniers avaient ouvert le feu, tuant le contact. Il avait remarqué qu’ils ne portaient pas d’uniformes et étaient équipés d’armes différentes, bref qu’ils étaient ostensiblement en civil.

Il actionna en un réflexe son générateur de brouillard instantané et sa cape holographique en plongeant au sol. Les tirs Impériaux frappaient son hologramme pendant qu’il disparaissait furtivement. Dans les coursives de la station, tout semblait calme. Il se mit à l’écart et sorti son arme, plus pour se rassurer que pour abattre ses adversaires. Il n’envisageait pas réellement pouvoir l’emporter devant des tueurs entraînés, équipés et connaissant le terrain. La sécurité de la station d’Ord Mantell n’avait pas bronchée. Elle était donc au courant qu’une opération de « police » était en cours. Il était donc inutile de se tourner vers les forces de sécurité – au contraire, elles le livreraient sûrement.

Pendant une seconde, Tarn pensa aux données qui n’allaient pas arriver à leur destinataire. Une autre livraison devrait avoir lieu, mais il serait bien temps de s’en occuper plus tard. L’urgence était désormais de quitter la station. Il était clair que son contact avait été découvert. Qu’avait-il pu révéler ?

Il n’avait pas de doute que son chasseur était désormais identifié, un garde allait-il être à proximité ? Des verrous électroniques posés ?

Au moins, l’électronique lui avait sauvé la vie. Il était temporairement invisible grâce à son champ de discrétion, mais l’émission énergétique de l’appareil allait bientôt le trahir. Il activa son senseur thermique, le plan de la station apparaissait sur sa lunette gauche peuplé par l’empreinte thermique des personnes alentours. Au moins, maintenant, il avait la sensation de voir.

Il se dirigea d’un pas rapide vers la zone d’atterrissage. Un des assassins était en faction devant la porte. Les deux autres allaient et venaient, cherchant visiblement à le trouver. En raison des allées et venues des spacers vers la zone d’atterrissage, l’assassin était obligé de se pousser. Tarn profita d’un écart pour passer.

L’assassin devait un avoir une oreillette de communication, au passage de Tarn, il fit la grimace alors qu’une vague de statique emplit l’oreillette. Il suspecta immédiatement quelque chose et dégaina, cherchant du regard la source de statique.
Tarn s’était promptement éloigné mais voyait les lèvres de l’assassin légèrement bouger. Il n’avait pas besoin de savoir lire sur les lèvres pour se douter qu’il venait de demander aux deux autres de venir. Ils allaient vraisemblablement verrouiller l’accès à la piste d’atterrissage. Le temps était compté.

Tarn rejoignit son chasseur – heureusement non verrouillé ; les assassins avaient du penser que leur attaque surprise n’aurait laissé personne en réchapper. Il fit chauffer le moteur et s’éloigna du vaisseau.

Deux des assassins accoururent arme au poing, le troisième restait en faction. Il fallait maintenant s’assurer que le vaisseau puisse chauffer. Tarn courra entre les deux hommes, sachant pertinemment que la décharge de statique allait donner sa position approximative. Il fallait les distraire du vaisseau.

Tarn eu la sensation d’être un gubbur aux prises avec deux wrix. Par moments, il coupait le champ de discrétion pour se rendre visible – aussitôt deux, trois tirs fusaient au jugé avec une précision infaillible – ou presque. Tout était dans le presque. Il réactivait le champ.

L’un d’eux compris tardivement et se dirigea vers le vaisseau. Tarn n’était qu’à une dizaine de mètre devant lui, et s’asseyait à bord du cockpit. Il emporta dans le vrombissement du moteur le chapelet de jurons des assassins.

Un accord...

La qualité de la communication était mauvaise, mais il reconnu la voix du Trandoshan. Ard’uf Bigshoes du déplacer son vaisseau ou procéder à quelque réglage et la communication fut cristalline. « Je te reçois fort et clair » répondit Tarn.

La visite de courtoisie au Musée avait donc eu un autre sens, se dit-il. Quelque part, cela le rassurait – le confortait plutôt – son appréciation initiale du Trandoshan avait donc été juste. Ard’uf était probablement passé faire une sorte de reconnaissance – quel qu’en fut l’objet. Ce dernier avait par ailleurs fourni une information sur sa personne que Tarn avait ressentie.

La conversation fut brève, rendez-vous sur Lok. Le Trandoshan souhaitait offrir « en quelque sorte » ses services à la Rébellion. En dehors de la chaîne hiérarchique de l’Alliance, l’appartenance de Tarn à la Rébellion était, pour des raisons évidentes un secret bien gardé. Seules quelques personnes de son entourage proche auraient pu lire au travers d’allusions calculées la réalité et il doutait fortement que l’une d’elle ait pu parler. Il restait deux pistes extérieures : l’underground et l’Empire. Dans le second cas, à moins d’un piège, il doutait que le pirate ait eu accès à son dossier Impérial.

Les fréquentations qu’avaient eues Tarn avec le Milieu, alors qu’il équipait les Rangers Antariens, avaient donc filtrées. La Grande Roue, Jabba the Hutt, Lady Valarian, Nym. Ni plus, ni moins. Dans aucun des cas, les pistes laissées n’auraient pu mener à la Rébellion – il avait fallu un travail d’imagination du Trandoshan pour arriver à cette conclusion – juste, mais par erreur. Tarn n’envisagea pas une seule seconde que le Trandoshan ait pu deviner l’existence des Rangers.

Il serait bien temps de remonter la piste qui avait mené Ard’uf à cette communication. Mais dans l’immédiat, il fallait prendre une décision : elle était simple, comme toujours quand l’enjeu est important, piège ou pas piège.
« Je serai là dès que possible ». Le Z-95 modifié de Tarn rejoignit la zone de saut de Dantooine. Il fit un court saut dans l’un des milliers de systèmes du secteur Raioballo afin de ne pas aller directement vers Lok, puis sauta en direction du système Karthakk. Les procédures d’atterrissage n’avaient pas changé, sommaires.

Ard’uf l’attendait au spatioport, un swoop tournait autour de son transport ; l’escorte était là. Le trajet fut court jusqu’à la cantina de la Forteresse de Nym – la seule ville digne de ce nom sur Lok. Tarn s’étonna du choix du lieu, Ard’uf ne pouvait pas ignorer qu’elle était surveillée par les hommes du Feeorin – Ard’uf souhaitait donc une forme d’adoubement tacite de la part du fameux pirate ou bien il était inconscient.

Tarn fut surpris que l’escorte s’asseye à la table en tournant le dos à la salle. Il était donc part à la négociation. Les présentations furent rapides, Osiak, Tarn, Ard’uf ; restait à négocier comment « en quelque sorte » Ard’uf allait joindre la Rébellion.

Le pirate Trandoshan se sentait à l’étroit, recherché par l’Empire, il lui fallait un soutien. A moins qu’il ait vendu sa liberté comme taupe impériale, il avait pris le pari que l’Alliance sortirait victorieuse du conflit. Il apportait à l’Alliance des chasseurs, une canonnière, l’accès à des mécaniciens qualifiés et du matériel expérimental – en échange de quoi, l’Alliance pardonnerait ses crimes passés, ses menus larcins futurs (tant qu’il ne tuerait pas de civils) et lui fournirait un Code Quasar afin qu’il ne fut pas abattu par la chasse rebelle. S’il gardait le commandement opérationnel de sa flottille, l’Alliance fournissait des cibles. La façon dont il occuperait son temps libre était discrétionnaire – comprendre, il continuerait la piraterie – mais resterait à l’écart de l’esclavagisme et des massacres inutiles.

Osiak de son côté ne présenta pas un front uni avec le Trandoshan et exprima certaines réticences sur la question de la piraterie. Il était par ailleurs préoccupé par la protection de sa famille – sa sœur en particulier – pour qui il cherchait à obtenir des faux-papiers. Ce point là suscita l’intérêt de Tarn qui consenti à la requête. La contrefaçon basique était la pierre angulaire de nombres d’opérations criminelles. L’organisation d’Ard’uf ne l’était peut être pas tant que ça ou à tout le moins, il lui manquait certains segments.

Il était temps de partir – Tarn devait rendre compte au Commandement Sectoriel. Il allait passer voir l’agent de liaison auprès de Nym – il ignorait si le Feeorin était au courant, mais il n’allait pas tarder à l’être.

mardi 1 décembre 2009

Doubler Suit, InstaMist Generator, Stealth Field, HoloShroud...a spy's inventory

Gizmos!! Wicked gizmos one might add. But what a relief.

Spies in SWG have the ability to disappear, become invisible at will (save for timer countdowns). Something that provokes the ire of the non-spy community.

Well, at least, the Extended Universe provides some references:

- Doubler suits create a holographic image of the wearer, they are not full proof, but useful nonetheless (source: Galaxy Guide: Bounty Hunters and Galladinium's Personal Gear); in SWG, the "decoy" ability mimics this suit.

- InstaMist Generator are used to create an instantaneous clouds - akin to the ninjas' famous smoke bombs (source: Galladinium's Fantastic Technology); in SWG the misty cloud used when activating the abilities "stealth", "decoy", "without a trace".

- Steath Fields aka personal cloaking devices make the wearer invisible to the naked eye. Source: Clone Wars chapter 14-16, Star Wars Battlefront II, Empire at War: Forces of Corruption, X-Wing: Wraith Squadron, KOtOR, KOtOR II, Jedi Knight: Jedi Academy); in SWG this is comes into play when using the abilities: "stealth", "decoy", "without a trace".

Needless to say that these abilities assume that the spy actually belongs to a wealthy organization. Each of these devices costs a small fortune and is highly illegal.

- HoloShrouds aka Holographic Image Disguiser enable a wearer to disguise as something else; they are also highly expensive (source: Boba Fett: A New Threat, Jedi Trial, Doctor Death: The Tale of Dr. Evazan and Ponda Baba, The Great Herdship Heist - Star Wars Adventure Journal 15, Young Jedi Knights: Darkest Knight, Star by Star, Enemy Lines I: Rebel Dream, Arms & Equipment Guide, Star Wars Encyclopedia, Scum and Villainy, The Essential Guide to Weapons and Technology, The Force Unleashed Campaign Guide, The Complete Star Wars Encyclopedia, Doctor Evazan in the Databank); in SWG these are used when calling upon the ability /costume.